Cela n’est pas sans un pincement de cœur que nous quittons Lisbonne, vieille cité du Portugal et ses 25 à 28 degrés.

Pourtant, comme tous les voyages, il a comporté ses moments d’inquiétude. L’attente de presque deux heures sans information avant de décoller de Bruxelles, de même que les formalités de retour à Lisbonne : impression des cartes d’embarquement et enregistrement des bagages par les passagers.

Mais ne dit-on pas que les voyages forment la jeunesse.
À l’arrivée à Lisbonne, tour de ville panoramique ; vu le retard, la visite de l’Alfama (quartier arabe et le plus vieux de la ville) est reportée au lendemain.

Le lendemain et les jours suivants, visite de palais, d’Eglises, d’un cloitre, d’un musée tous aussi grandioses et majestueux les uns que les autres.
Un parcours accidenté parfois trop ce qui nous a apporté son lot de chute, à prévoir peut-être pour le futur un kit de premiers soins.

La guide a tout fait pour nous être agréable ; mais ne lui manquait-il pas aussi une cocarde au nom de l’ARC de Soumagne pour mieux la repérer dans la foule parfois très dense.

Pour nous rendre au spectacle de Fado, nous avons emprunté le funiculaire, ce qui a fait chanter à certaines personnes non sans malice « qu’est que l’on est serré au sein de cette boite » ; le spectacle de Fado lui était à la mesure des artistes, c’est-à-dire excellent et fortement applaudi.

Nous avons aussi emprunté le tram 28 (électrique) non prévu au programme, mais demandé par nos accompagnateurs ; ce qui nous permet de rencontrer un autre Lisbonne, celui des quartiers populaires.
Un mot sur le logement et la nourriture 5 étoiles, celles-ci n’étaient pas usurpées.

Un mot également sur la prestation 5 étoiles de nos accompagnateurs Claudine et Henri qui ont veillé sur le groupe avec sourire et abnégation.